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La réacyion KK La réaction KK est ainsi dénommée parce qu’elle a été initiée par Kotilová Kubickova, en 1982, dans le sous-genre Amanitopsis, et particulièrement chez les Vaginatinae. L’auteur a constaté qu’à la jonction entre le pied et le chapeau, on pouvait rencontrer des hyphes particulières, souvent plus volumineuses, dont la cloison affiche une réaction +/- nettement amyloïde (variations de bleu noirâtre) en présence du réactif de Melzer. Pour ce faire, il faut réaliser de fines coupes à ce niveau (merci au microtome de Ranvier), les mettre à baigner durant quelques minutes dans le melzer, puis observer après dissociation à 1.000 x. La réaction sera notée KK+ ou KK-, selon le résultat obtenu. Chez Amanita muscaria |